Note générale :
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Dans la campagne où je vis, on m'a toujours parlé du Lierre comme d'un ennemi, un condamné coupable de tous les méfaits : les forestiers n'avaient de casse de la couper pensant qu'il étouffait les arbres, les maçons et les peintres en bâtiments ne supportaient pas de le voir tapisser les murs, car ils croyaient que ce dernier "mangeait" les constructions de manière irrémédiable ; et même les jardiniers avaient tendance à le mépriser, puisqu'il n'était que la dernière solution possible pour habiller les espaces difficiles comme l'ombre permanent au pied d'un bouquet d'arbres... [Extrait]
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