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Note générale :
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« Quelle est la place des associations dans le système de gouvernance des territoires pour lesquels elles donnent tant ? Les associations sont-elles des partenaires techniques ou politiques des collectivités locales ? Sont-elles en concurrence avec une forme de concertation de proximité « directe » qui séduit de plus en plus d'élus souhaitant s'affranchir de la médiation associative entre eux et la population ? Actrices essentielles de la société civile, même si elles ne la résument pas à elles seules, les associations naviguent entre le dialogue direct avec le politique, confrontation conflictuelle, collaboration au même rang que les citoyens non organisés. Un panel de situations qui varient bien sûr en fonction des réalités locales, mais aussi parce que le dialogue civil dans les territoires reste l'apanage des bonnes volontés et manque cruellement de référentiels clairs et partagés. Il reste donc beaucoup de travail à mener en ce sens, tout en réaffirmant que d'oeuvrer avec les associations est bien plus qu'un « supplément d'âme » d'une bonne gouvernance locale. » (Extrait de l'édito)
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