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Note générale :
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Malgré une tentative de sortie de crise des associations dites "humanitaires" (Emmaüs, Voix de nana, Aida, Cimade...) et le soutien constant des associations dites "historiques" réunies en collectif (LDH, MRAP, CSP59...), les sans-papiers en grève de la faim depuis plus de 60 jours restent sur leur position, maintiennent leur grève et refusent les accords passés entre la préfecture et les associations. Le conflit semble se situer aussi entre les associations humanitaires et historiques. Quelle en sera l'issue ? Seule certitude : chacun est d'avis de reprendre le dialogue avant que la vie des grévistes soit en danger.
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